Le cosmos, une destination de rêve désormais à portée de main pour les plus fortunés, avec des milliardaires jouant aux astronautes. Mais derrière la beauté des étoiles se cache une empreinte carbone qui fait pâlir la voie lactée. Préparez-vous à un voyage hilarant à travers l’espace, avec des arrêts prévus sur la Lune, la Station spatiale internationale et peut-être même chez les extraterrestres écolos.
Vols paraboliques : Gravity, le remake à 6000 euros
Pour ceux qui veulent un avant-goût de la pesanteur réduite de Mars sans casser la tirelire, les vols paraboliques sont la nouvelle attraction. À seulement 6000 euros, vous pouvez flotter en apesanteur pendant une vingtaine de secondes. C’est moins cher qu’un costume de super-héros, mais l’empreinte carbone est à surveiller. À quand les paraboles recyclées pour des soirées écolos?
Vols suborbitaux : Des tours de manège plus chers que le tour du monde
Virgin Galactic et Blue Origin proposent des vols suborbitaux pour ceux qui veulent un selfie avec la Terre en arrière-plan. Mais chaque passager émet plus de CO2 que s’il conduisait autour du monde dans une voiture de sport. C’est comme choisir entre sauver la planète et obtenir le selfie parfait. Décisions difficiles pour les instagrameurs éco-conscients!
Vers l’orbite et au-delà : La Lune, un rêve à seulement 100 millions de dollars
Des voyages vers la Lune sont maintenant à la portée des ultra-riches, avec des prix allant jusqu’à 100 millions de dollars. Un tarif qui vous assure une place dans le club très exclusif des « J’ai laissé mon empreinte carbone sur la Lune ». Bonus : vous pouvez même rapporter un peu de poussière lunaire pour votre collection personnelle. Uniquement pour les collectionneurs de souvenirs interstellaires!
Conséquences environnementales et inégalités sociales
Mais n’oublions pas que derrière chaque lancement de fusée, il y a une empreinte carbone qui fait des ravages. Les 1 % les plus riches, déjà responsables de tant d’émissions, ajoutent maintenant des voyages spatiaux à leur liste. C’est comme s’ils essayaient de rendre la Terre jalouse en flirtant avec d’autres planètes.
Conclusion
Alors que le tourisme spatial nous offre une bouffée d’air frais interstellaire, il est temps de se demander si c’est vraiment drôle pour notre planète. Peut-être que c’est le moment de repenser nos priorités et de trouver des moyens plus écolos de conquérir l’espace, sans laisser notre belle Terre en mode jalouse. Rappelons-nous, les étoiles peuvent être brillantes, mais la planète mérite aussi son moment sous les projecteurs.
Pour en savoir plus : https://nocarbono.com/lempire-et-lenvironnement/ – https://lactualite.com/sante-et-science/quand-voyager-dans-lespace-pollue-la-planete/#:~:text=Autour%20de%20la%20Lune,-Un%20vol%20autour&text=Le%20dernier%20rapport%20environnemental%20de,625%20tonnes%20de%20CO2.